Quatre filles et un jean, Tome 1 de Ann Brashares, chez Gallimard jeunesse en 2002

L’ancienne version, que je possède
Ah que ça fait du bien de se replonger dans un bon classique qui a fait toute ma jeunesse ! En plus, j’ai retrouvé mon livre que j’avais étant ados, et il est dans un sacré état ! Il ne faut pas trop l’ouvrir de peur qu’une page se détache, il sent un peu la colle d’il y a quelques années, toutes les pages sont cornées… bref, il a bien vécu. Je crois qu’avec les Harry Potter, mes 4 filles et 1 jean sont les seuls romans dans cet état dans ma bibliothèque. Signe que je les ai adorés et lus des dizaines de fois. Je n’ai donc pas pu résister à une énième lecture, pour en faire enfin une critique et en garder une trace. En plus, ce n’est absolument pas le genre d’histoire que j’affectionne habituellement et il me semble que je n’ai jamais réaccroché à un récit du même style par la suite. Donc autant profiter de la diversité que cela va m’apporter. Et ça tombe bien, l’été bat son plein, saison dans laquelle se déroule note récit.
Un petit résumé du tome 1 s’impose, car même si c’est un classique pour moi et toute une génération de jeunes filles, il n’est plus forcément très connu de nos jours.

Il a un peu vécu…
Carmen, Tibby, Bridget et Lena sont les quatre meilleures amies du monde. En réalité ce sont leurs mères qui se sont connues quand elles étaient enceintes et sont restées proches au début de la vie de leurs quatre charmantes filles. Malheureusement, la vie les a éloignées. Mais les quatre filles, elles, sont restées unies pour le meilleur et pour le pire.
Elles habitent à Bethesda aux USA, et même si elles ne fréquentent pas les mêmes établissements scolaires, leur plaisir est de se retrouver tous les week-ends et surtout à chaque vacance scolaire, notamment celles d’été. Mais pour la première fois, à la veille de leurs 16 ans, au sortir de l’année de seconde, elles vont passer les vacances d’été loin l’une de l’autre.
Carmen vit avec sa mère à Bethesda et ne voit son père que 3 ou 4 fois par an. Elle est portoricaine et a, selon elle, un gros popotin. Elle est très méthodique et organisée dans sa vie, mais peut-être pas quand il s’agit de ses émotions… Cet été, c’est elle qui rend visite à son père pour une fois, en Caroline du Sud. Elle s’en réjouit depuis plusieurs semaines, mais au final sera déçue. Son père ne l’avait pas prévenue qu’il s’était retrouvé une nouvelle famille…
Lena, d’origine grecque, est la « beauté du groupe ». Timide, en retrait, c’est son physique qui fait des ravages. Mais elle n’en profite pas et n’aime d’ailleurs pas les regards qu’elle attire. Elle aussi va pour la première fois voyager jusqu’à sa famille maternelle sur une petite île grecque. Elle va y passer un été merveilleux à découvrir les paysages méditerranéens, mais aussi le caractère bien trempé de certains grecs.
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